Giacometti et Dalí, membres du groupe surréaliste, fréquentent alors les mêmes cercles. L'échange entre eux est vif, intellectuel, créatif, et leurs œuvres entrent dans un dialogue fécond. Cette exposition met en lumière leur amitié ainsi que leur goût commun pour l’exploration d’espaces rêvés.
Commissaire : Émilie Bouvard
Au début des années 1930, Giacometti et Dalí imaginent en commun un jardin extraordinaire pour le vicomte et la vicomtesse de Noailles. Ce projet à quatre mains, connu par des dessins, comporte des œuvres surréalistes de Giacometti dans un vaste paysage onirique caractéristique du style de Dalí.
Ce paysage fantasmé intègre aussi un environnement sculptural conçu par Giacometti pour un espace en plein air, le Projet pour une place.
Installation de grande ampleur, ce chef-d’œuvre élaboré en 1931, illustre la conception du jardin que partagent Giacometti et Dalí et leur goût pour les formes ainsi que les images ambigües...
Des prêts exceptionnels montrent les échos de cette thématique dans les peintures, sculptures et dessins des deux artistes. Des œuvres majeures du peintre catalan telles que La Vache spectrale (1928, Centre Pompidou, musée national d’art moderne), La Mémoire de la femme-enfant (1929, Musée Reina Sofia, Madrid), Ensemble masochiste (1931, collection privée), et Femme à tête de roses (1935, Kunsthaus, Zürich), font écho aux œuvres surréalistes du sculpteur suisse. « Jardins de rêves » explore ainsi les liens profonds entre les toiles oniriques de Dalí et les sculptures énigmatiques de Giacometti, habitées par une même recherche autour du paysage, de la sexualité et du songe.
Institut Giacometti
5, rue Victor- Schœlcher
75014 Paris
institut-giacometti.fr
Commissaire : Émilie Bouvard
Au début des années 1930, Giacometti et Dalí imaginent en commun un jardin extraordinaire pour le vicomte et la vicomtesse de Noailles. Ce projet à quatre mains, connu par des dessins, comporte des œuvres surréalistes de Giacometti dans un vaste paysage onirique caractéristique du style de Dalí.
Ce paysage fantasmé intègre aussi un environnement sculptural conçu par Giacometti pour un espace en plein air, le Projet pour une place.
Installation de grande ampleur, ce chef-d’œuvre élaboré en 1931, illustre la conception du jardin que partagent Giacometti et Dalí et leur goût pour les formes ainsi que les images ambigües...
Des prêts exceptionnels montrent les échos de cette thématique dans les peintures, sculptures et dessins des deux artistes. Des œuvres majeures du peintre catalan telles que La Vache spectrale (1928, Centre Pompidou, musée national d’art moderne), La Mémoire de la femme-enfant (1929, Musée Reina Sofia, Madrid), Ensemble masochiste (1931, collection privée), et Femme à tête de roses (1935, Kunsthaus, Zürich), font écho aux œuvres surréalistes du sculpteur suisse. « Jardins de rêves » explore ainsi les liens profonds entre les toiles oniriques de Dalí et les sculptures énigmatiques de Giacometti, habitées par une même recherche autour du paysage, de la sexualité et du songe.
Institut Giacometti
5, rue Victor- Schœlcher
75014 Paris
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